Lady Yaye Fatou Sarr

  Maman Anta, Chers enfants, Alassane Winch Diagne , Je n’ai pas meilleure manière de m’exprimer que ma plume. Certains me diront non mais je serai bien mieux à l’aise en vous écrivant Merci. Oui, je ne connais de mot plus fort pour vous témoigner ma gratitude. Cette visite chez vous, chez nous dans le cadre du programme Africtivistes Civic Engagement Tour m’a fait un tel bien. Vous m’avez permis de continuer à y croire ; Maman Anta, j’ignore votre âge mais je reste persuadée qu’il reste proche de celui de ma maman. Et Mère, vous voyant vous battre à cet âge pour des causes que vous avez toujours défendues, vous entendre parler de vos réussites, vos difficultés, je me suis dit « bah au moins je suis sûre que malgré tout ça je pourrai tenir, nous avons tous la possibilité de tenir.». Chers enfants, votre joie de vivre est contagieuse, votre esprit imaginatif est surprenant et votre sens de l’apprentissage est à saluer. Machallah messieurs, en chacun de vous comme le dirait Alassane...

Elle me lira assurément et elle saura que j’ai tenu ma promesse. Au moins, nous essayons de porter la voix des sans voix. Cette petite m’a replongée dans la réalité de notre système scolaire alors que je pensais encore à ces enfants qui ont fait l’entrée en sixième dans des salles d’examen inondées.  Cette candidate qui m’a ramenée encore une fois sur la toile. Je fus choquée par cette vidéo montrant nos jeunes candidats en train de faire l’épreuve physique sous la pluie. N’y avait-il pas de sites plus appropriés pour la tenue de ces épreuves en plein hivernage ? Ainsi, notre éternel problème de priorités refait surface. Pour un secteur qui a absorbé 40% de notre budget national, que c'est regrettable.  Bref, j’écris pour transmettre cette inquiétude. Elle va au Bac et ne cesse de se demander «si toutes les conditions seront réunies pour la bonne tenue des épreuves et la délibération». « Vous même vous avez vu les sacrifices que nous faisons et là ils nous disent q...

 Je partage avec vous ma présentation en tant que femme politique lors du webinaire organisé par la #JAC sur le leadership féminin au coeur du développement en Afrique. "Il est heureux de constater que la loi portant sur la parité adoptée en 2010 fait son effet. Aujourd’hui par exemple, les femmes occupent plus de 40% des sièges à l'Assemblée nationale  sénégalaise, avancée à saluer.  Il faut également saluer le courage que les femmes ont d’intégrer les partis et mouvements politiques et surtout d’être dans les instances décisionnaires de ces derniers partout à travers l’Afrique. Elles entrent aussi dans les gouvernements et occupent des postes stratégiques ou sont simplement Présidente de la République. C’est le cas de Madame la ministre de la jeunesse du Sénégal, Néné Fatoumata Tall, de madame Aminata Touré, ancien pm, ancienne ministre de la justice, de Madame Awa Marie C. Seck, ancienne ministre de la santé, de Madame la présidente de Ethiopie Sahle-Work Zewde. Elles ...

La mort, Un état irréversible dirait le dictionnaire, Qui dirai je, entraine un sentiment fort, Oui surtout quand autant on en perd. Un regard vide, Un cœur brutalement vide, La réalité du sens de notre vie, Nous empoigne et de nouveau sévit. Nalawna, Damna, Fatouna, Il est parti, ils ne sont plus là. Sy malick, Seck, Niass, Et bien d’autres d’une sagesse, Partent sans nous dire au revoir. Ils s’éteignent dans le noir, Ils partent dans la discrétion, Nous poussant à l’union. Ils nous rappellent le sens de la vie, Ils nous rappellent que la mort reste en vie. Ils nous poussent à nous parfaire, Ils nous amènent à nous taire. Oh oui ! Oh oui ! Quelques écrits pour libérer le cœur, Au lieu d’être en pleur. Mais que le message de Dieu soit compris Et que pour nos morts, l’on prie. Reposez en PAIX auprès de notre BIEN AIMÉ (asw)

Quatre profils pour nous prouver que c'est possible...

En quoi suis je obligée d'être toi? Pourquoi je devrai ressembler à elle? Pourquoi je devrai être autre que moi? Et pourtant c'est si bon d'être dans mon île. Je me laisse le droit de rêver, Je me donne le droit d'être dans les nuages, Je me donne le droit de tout braver, Je me donne le droit de défier mes rages. Haha! Je pas nous! Ha! Je pas vous! Je me donne le droit de parler pour moi, Et toi, fais ton choix. Je ne parlerai pour toi. Choisis ta loi. Moi, je rêve d'être princesse, Moi, ça m'arrive d'être déesse, Moi, ça m'arrive d'avoir de la sagesse, Moi, ça m'arrive de ressentir de la tristesse. Je m'aime moi Moi, je peux aimer, Moi, je suis moi, Toi, tu es toi, essaies de t'aimer. Je rêve d'un prince charmant, Je fais parfois des erreurs en suivant le vent, Je suis parfois dans des moments alarmants, Mais souvent .... Souvent, je me ressaisis souriant, Prêtez...

À Ndoumbelane, la republica est morte, la rue dicte sa loi, de pauvres innocents en paient les pots cassés. À Ndoumbelane, le ministre de l’intérieur est incapable de nous protéger mais se rue dans une histoire de terres qui appartiendraient à une grosse pointure. À Ndoumbelane, l’histoire est contée pour faire des saints et non pour dire la vérité. À Ndoumbelane, le pauvre est mis à l’écart, le riche est un Dieu. À Ndoumbelane, beaucoup considère la politique, l’activisme comme des moyens d’ascension sociale ou économique rapide. À Ndoumbelane, la magie du clic commence à avoir un gout amer. À Ndoumbelane, l’on terrorise beaucoup de femmes oh pourtant compétentes. À Ndoumbelane, l’on détruit ses concurrents juste pour percer. À Ndoumbelane, l’on humilie une femme, la dénude sous prétexte que c’est une voleuse. À Ndoumbelane, les gens se sourient et se poignardent derrière. À Ndoumbelane, beaucoup de femmes se détruisent entre elles. À Ndoumbelane, l’on ne survivra pas si l’on est pas ...

Dans le silence de la nuit, Ce silence d'une douceur rare, Défile la journée avec ses bruits. Reconnaissance éternelle malgré ses tares. Dans le calme du soir, Le poids de la vie semble léger, L'on savoure la paix dans le noir. Alhamdoullillah, que ce coeur soit léger. Dans ce lit, des pensées s'agitent, Tantôt un rire, tantôt un sourire, Tantôt elle s'embête, se moque, Tantôt elle se dit elle a évité le pire. Dans le silence de la nuit, Elle se plait à écouter son cerveau, Elle produit, Pour un moment de.... Bref elle ne sait pas. Disons  juste pour souhaiter une douce nuit  ❤😘

# Vivreavec   # COVID19sn Elle se nomme Mame Diarra GUEYE, elle a 25 ans.... "Je suis sociologue de formation, entrepreneure bloggeuse. Je m'étais auto confinée pendant presque 3 mois et j'en ai profité pour me pencher sur mes projets personnels (entreprenariat). Chose que je voulais faire depuis plusieurs années et que je remettais toujours . C'était vraiment l’occasion rêvée pour commencer à bosser là-dessus. A part ça, je coanime aussi un blog et j'ai participé à l'organisation de webinaires ( ce qui est nouveau pour moi). De même, j’ai beaucoup avancé sur mon mémoire. En résumé, je peux dire que cette période m'a permis de faire une pause et de me concentrer sur ce que je souhaite faire vraiment et je sais que j'en ressortirai avec un nouvel état d'esprit et beaucoup de perspectives Ce qui a été intéressant à mon niveau, c’est que je me suis moi-même surprise en ayant le courage de sauter le pas pour créer ma marque de vêtements. Je pense...

#Vivreavec #Covid19 Dior GUEYE, CEO Gainde Business Corporate, Co-fondatrice de KAAY JOB La pandémie provoquée par le virus COVID-19 qui sévit autour de nous depuis quelques temps a remis en question beaucoup de nos acquis. Ma vie quotidienne a beaucoup changé dans cette situation de Corona. J’ai dû rapidement changer mes habitudes afin de préserver ma santé, celle de mes proches, de mes voisins, etc. Dans le contexte que nous vivons aujourd'hui, la solidarité est une valeur plus qu'essentielle. Chacun à son échelle peut faire un geste pour aider un voisin ou un proche en difficulté. Le virus ne fait pas de discrimination et nous rappelle notre humanité commune. Je recommande aux autres de penser positivement, ce temps passera. Le monde va lentement revenir à la normale et nous pourrons alors nous revoir et nous prendre dans nos bras, ce qui le rendra d’autant plus beau. Nous devons rester optimistes ! L'impact économique se fera sentir par de multiples ...

# Vivreavec   # COVID19 Bonne lecture "Moi c'est Coumba sarr volontaire  Africtivistes  , diplômée en science de gestion : Politiques et Negociations commerciales internationales . Je travaille actuellement dans une structure de distribution de produits petroliers comme assistante de direction responsable achat . La covid je l'ai vecu en plusieurs etapes d'abord une phase où le stress, la suspicion et la peur impacter négativement sur mes activités professionnelles. Etant en int eractions avec des personnes d'horizons diverses j'avais souvent des appréhensions ce qui ne me rendait pas productive. Puis avec le recul j'ai pu me recentrer et relativiser par rapport à la maladie. Pour cela la lecture spirituelle Rumi et les discussions avec des proches m'ont beaucoup aidé. Mettre des mots sur nos peurs et tourments nous aident à les surmonter au moins de 50% car parler nous libère toujours. Apres avoir compris que la Covid 19 etait une maladie comme l...

#Vivreavec #COVID19 Laissons le dérouler... "Je suis très content de vous faire un retour d'expérience de mes activités en cette période de crise.  Je m'appelle SOULEYMANE DIOUF, Journaliste-Communicant de formation entrepreneur et social-activiste. Je suis Cofounder de la startup Senrecycle Sarl qui évolue dans le recyclage des  déchets plastiques, Directeur-Pays de la plateforme Climate Action Group qui lutte contre le changement climatique pour un développement durable et Fondateur de A4SII (Act For Social Impact Initiatives), une association de don d'expériences et bénévolat de compétences. J'ai vécu la crise avec beaucoup d'intensité du point de vu implication. Tout a fait au début, après l'arrêt de toutes les rencontres privées comme publiques affectant le travail en présentiel, j’ai utilisé mes murs des RS comme moyens de sensibilisation où durant presque  1 mois je n'ai traité et parlé que de la Covid19. Ceci m'a permis de sensib...

# Vivreavec   # Covid19sn Il nous parle .... "Je suis René Edouard Mendis, Program associate à  Social Change Factory l , entrepreneur social et secrétaire général de  Senvie Association  . Je commencerai à ranconter ma vie durant la covid-19, avec cette citation d’Albert Camus : « On croit difficilement aux fléaux lorsqu’ils vous tombent sur la tête. » Oui, qui l’eut crû ? Que plus 2 milliards de personnes dans le monde dont moi, se seraient confinés et/ou limitées au maximum leur déplacement. C’est ce que je me suis attelé à faire, au début des premières nouvelles de cas positifs au Sénégal. L’excellent article de Philippe Sansonnetti, que je conseille à tous de lire, -( https://laviedesidees.fr/Covid-19-chronique-d-une-emergence… ) résume tout. Au début, j’étais un peu stressé car c’était nouveau, le changement était devenu brutal et à vrai dire, personne ne s’y était préparé. Au fur et à mesure, j’ai appris, à être résilient et à m’adapter à la situation. Au...

# Vivreavec   # COVID19sn Papa Latyr Junior Diouf, médecin interne, DES en maladies infectieuses nous partage sa vie en cette période de pandémie "En fin février, on a reçu notre premier cas suspect de Covid, une étudiante qui venait de la chine. Ce jour là j’étais d’astreinte au service. Des que je suis arrivé, j’ai trouvé plein de voitures dans le parking, les voitures du prof, du surveillant de service et d’une de nos assistantes, un dimanche à 8h tapante….vraiment inhabituel.  Alors là j’ai vite compris et je me suis dit mon gars :’’ tay rekk nakk gay dora astreinte’’mdr. J’étais à la fois nerveux et excité. Nerveux parce que j’allais me jeter dans la gueule d’un virus extrêmement contagieux et potentiellement mortel. Mais excité, oh oui hyper excité parce que j’allais examiner le premier cas probable de Covid du pays. Et pour un petit aspirant infectiologue qui ne connait rien aux épidémies c’est un privilège, voir une bénédiction que de vivre cet instant. Depuis ce jo...

Sans nous dédouaner car nous sommes tous responsables, monsieur le Président, vous êtes le principal responsable de ce qui se passe dans ce pays ! Wayee nak bu takké keene du mucc ! L’on ne cesse de le dire, un peuple affamé, apeuré, stressé, subissant les affres du chômage, parfois pas éduqué et maintenant malade est un peuple imprévisible. En condamnant de toute mon énergie, ces actes compréhensibles certes mais injustifiables, la jeunesse de v otre pays vous met face à vos responsabilités. Qu’attendez-vous donc d’une jeunesse qui vit dans la promiscuité des chambres ? Qu’attendez-vous donc d’une jeunesse qui achète à manger toutes les nuits ou qui passe chez un ami, un parent, pour manger ? D’une jeunesse qui passe son temps devant le thé pour oublier ses maux ? D’une jeunesse dont les éducateurs ont quasi démissionné ou submergé par leur recherche de quoi nourrir la famille ? D’une jeunesse qui ne bénéficie plus de l’éducation civique à l’école ? D’une jeunesse qui passe son...

Meissa M. LO, je vis en France et je suis expert financier, consultant junior en trading & gestion d’actif, ancien vice président de la Jeune chambre Internationale Dakar Avenir, organisation à but non lucratif, auteur d’articles et acteur politique.  La pandémie a totalement chamboulé nos activités professionnelles et extra professionnelles. Depuis le 16 mars, les commerces et lieux de rencontres sont fermés. Nous étions, pour la plupart, en télétravail, alors nous n’avions plus de prétexte pour sortir. Et nos sorties et déplacements étaient limités jusqu’au 11 mai, date du déconfinement. Nous étions obligés d’avoir une attestation comme justificatif de déplacement avant de sortir de chez nous. Cette restriction des libertés était naturellement difficile pour beaucoup mais c’était pour la bonne cause. C’était un moyen de réduire la propagation du virus afin d’éviter d’augmenter le nombre de contaminés et ne pas surcharger les hôpitaux et rendre plus difficile le travail d...

J'ai arrêté de fumer... #Journéemondialesanstabac #Témoignage Moi j’ai commencé à fumer quand j’étais en Terminale. Je me cachais pour fumer. Au début je ne fumais que le soir quand je partais pour réviser. Après le bac, durant les grandes vacances je suis devenu un vrai fumeur. Je fumais tout le temps tous les jours. Pendant 3 ans j’ai fumé sans que les gens de chez moi ne le sache. J’avais toujours un cheewgum un parfum pour dissimuler l’odeur de la cigarette.  Cependant ma maman a toujours eu des doutes car à chaque fois qu’elle prenait mes habits pour les mettre au linge elle sentait l’odeur de la cigarette sur mes vêtements.  Je me rappelle encore en première année, dans une école privée de la place presque la moitiée des étudiants (garçons et filles) de ma promo fumaient. Ce qui ne m’a pas aidé à arrêter la cigarette. Quand j’arrivais le matin à l’école la première chose à faire c’était de m’acheter un paquet de cigarettes qui tenait que la journée....

#Vivreavec #Covid19sn Abdoulaye Mbengue, Médecin en formation, président de la MASH ( Mission d'Aide Sociale et Humanitaire) nous partage sa vie en cette période de pandémie... "La pandémie de Covid-19 nous a tous surpris comme un coup de tonnerre dans un ciel serein, tous les secteurs d'activités sont actuellement touchés par cette pandémie dont la santé. Malgré tout, en tant que personnel soignant nous avons eu la chance de comprendre très tôt le danger que ce virus  pourrait représenter pour le pays ce qui n'était pas le cas pour bon nombres de personnes qui ne le prenaient pas au sérieux.  La vie en famille est devenue une autre réalité! J'ai commencé par sensibilisé mon entourage en leur dictant les mesures barrières ! Au début c'était vraiment difficile parce qu’on était contraint d'arrêter les stages à l'hôpital pour nous protéger mais également de protéger nos familles et c'était vraiment  difficile  , difficile de vivre quand...

#Vivreavec #Covid19 Diodio Ndour Kâ, Diplômée en master 2 Marketing Chef de Produit à l'Iseg de Paris, Consultante indépendante en Marketing, Communication et Fondatrice de la marque  Mana Création nous partage sa vie en cette période de pandémie... "La crise a certes impacté mon business mais je rends grâce à Dieu. Le showroom est fermé depuis fin mars mais nous préparons la réouverture en mettant en place toutes les mesures d'hygiène.  La Covid 19 nous a rappelé les valeurs essentielles : la solidarité, la famille, la résilience, le courage et a révélé dans la dans la plupart d'entre nous une fibre créative. Cela a permis aussi de faire face à nos maux : l'indiscipline, le fanatisme,  mais surtout la précarité dans laquelle vivent les populations vulnérables. Côté familial, les appels vidéos ont remplacé les visites mais cela nous permet au moins de voir nos proches et de rester en contact avec vous... Le digital est à coup sûr notre sauveur dans c...

# Vivreavec   # COVID19sn Abdoul Khadre Coulibaly, journaliste communicant, Secrétaire exécutif de IDEAL (Innovation pour le développement économique par l’action locale), Fondateur de « DBC Corporate » nous partage sa vie en cette période de pandémie... "La pandémie de la Covid-19, je la vie d’une manière sereine certes, mais avec quelques fois des moments de stress, de peur, d’inquiétude, d’incertitude… Alors je dois à priori préciser que je ne me suis pas confiné car j’ai décidé d’être au service de la communauté en allant travailler et en descendant sur le terrain avec tout ce que cela comporte comme risque (car quelques fois, il s’est agit de faire des reportages dans endroits où il y’a des clusters « foyer de contagion ») à la recherche d’information…. Toutes mes activités en ces temps de crise sanitaire se limitent généralement à naturellement mon devoir d’informer en tant que journaliste, informer mais aussi sensibiliser sur les dangers du Sans-Cov-2 communément app...

#Vivreavec #COVID19sn Communément appelé Black panthère ou père des Talibés, Djibril Bokoum est un entrepreneur social. Le spécialiste en Marketing, nous partage sa vie en cette période de pandémie... Corona un mal pour un bien Mon souci premier à l’annonce de l’arrivée de cette pandémie dans notre pays concernait le devenir des enfants talibés. Mais le fait que ceux qui se trouvent sous notre tutelle ne mendient pas nous a permis de gérer la situation avec moins de peur et beaucoup de sérénité. A cela s’ajoute la sensibilisation constante que nous faisons sur les mesures d’hygiène à travers le concept “Éducation for talibés”.  Quid des autres enfants qui n’ont pas cette chance? D’autres associations et initiatives telles que « Yekkou Daara » (que j’ai créé avec Ndiaye Cire Ba), Volontaires Tout Terrain, etc, apportent des solutions efficaces afin de soutenir cette couche défavorisée.  La solidarité à toute épreuve ! Solidarité qui nous donne un grand bol d’op...