La mort
La mort,
Un état irréversible dirait le dictionnaire,
Qui dirai je, entraine un sentiment fort,
Oui surtout quand autant on en perd.
Un regard vide,
Un cœur brutalement vide,
La réalité du sens de notre vie,
Nous empoigne et de nouveau sévit.
Nalawna,
Damna,
Fatouna,
Il est parti, ils ne sont plus là.
Sy malick,
Seck,
Niass,
Et bien d’autres d’une sagesse,
Partent sans nous dire au revoir.
Ils s’éteignent dans le noir,
Ils partent dans la discrétion,
Nous poussant à l’union.
Ils nous rappellent le sens de la vie,
Ils nous rappellent que la mort reste en vie.
Ils nous poussent à nous parfaire,
Ils nous amènent à nous taire.
Oh oui !
Oh oui !
Quelques écrits pour libérer le cœur,
Au lieu d’être en pleur.
Mais que le message de Dieu soit compris
Et que pour nos morts, l’on prie.
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