À NDoumbelane
À Ndoumbelane, la republica est morte, la rue dicte sa loi, de pauvres innocents en paient les pots cassés.
À Ndoumbelane, le ministre de l’intérieur est incapable de nous protéger mais se rue dans une histoire de terres qui appartiendraient à une grosse pointure.
À Ndoumbelane, l’histoire est contée pour faire des saints et non pour dire la vérité.
À Ndoumbelane, le pauvre est mis à l’écart, le riche est un Dieu.
À Ndoumbelane, beaucoup considère la politique, l’activisme comme des moyens d’ascension sociale ou économique rapide.
À Ndoumbelane, la magie du clic commence à avoir un gout amer.
À Ndoumbelane, l’on terrorise beaucoup de femmes oh pourtant compétentes.
À Ndoumbelane, l’on détruit ses concurrents juste pour percer.
À Ndoumbelane, l’on humilie une femme, la dénude sous prétexte que c’est une voleuse.
À Ndoumbelane, les gens se sourient et se poignardent derrière.
À Ndoumbelane, beaucoup de femmes se détruisent entre elles.
À Ndoumbelane, l’on ne survivra pas si l’on est pas fort.
À Ndoumbelane, l’on ne pose pas d’actes si l'on est pas positif.
À Ndoumbelane, facilement l’on est dégouté.
NDoumbelane est épuisant.
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